Quand, parfois, le doute est le plus fort,
quand, souvent, la vanité prend le dessus,
quand, enfin, la meilleure des choses qu’il reste à faire est d’écrire, toujours, malgré tout,
la phrase de Romain Gary, bien plus qu'une pépite, se trouve dans « La promesse de l’aube », et résonne encore davantage, car c’est le cas depuis longtemps:
« … je devais un jour opter pour la littérature, qui me paraissait le dernier refuge, sur cette terre, de tous ceux qui ne savent pas où se fourrer ».

La littérature, ou l’écriture sous toutes ses formes, ultime endroit de réconfort, lien privilégié d’expression, voire de communication. Avec les autres, les lecteurs et tous ceux concernés de près ou de loin par ces traces textuelles, ces phrases, multiples ou trop rares.